Four graduate students from four distinct Canadian institutions engaged in collaborative autoethnography to explore their dual roles as participant-researchers investigating the lived experience of graduate students studying engineering education research… Click to show full abstract
Four graduate students from four distinct Canadian institutions engaged in collaborative autoethnography to explore their dual roles as participant-researchers investigating the lived experience of graduate students studying engineering education research (EER) in Canada. Findings, oriented through the identity-trajectory framework, indicate that we questioned the legitimacy of the field, and thus our identities. This struggle for legitimacy is discussed in terms of community of practice, drawn from a situative perspective, as well as through boundary crossing, and socialization and cultural theories. We position EER as interdisciplinary and demonstrate how this space should be leveraged to encourage the advancement of transformative knowledge. We suggest the intentional construction of EER communities of practice at individual Canadian institutions is essential for explicitly attending to the identity development of EER graduate students and supporting the advancement of this interdisciplinary and emergent field. Quatre étudiants diplômés, provenant de quatre institutions canadiennes différentes, ont participé à une étude auto-ethnographique collaborative afin d’explorer leur double rôle de participants et de chercheurs. Ils se sont penchés sur les expériences vécues par des étudiants diplômés en recherche en didactique de l'ingénierie au Canada. Les résultats, à travers un cadre de trajectoire identitaire, indiquent que nous avons remis en question la légitimité du champ d’études, et donc notre identité. Cette lutte pour la légitimité est abordée en termes de pratiques communes, tirées d’une perspective situationnelle, ainsi qu’en termes de dépassement des limites, de socialisation et de théories culturelles. Nous situons la recherche en didactique de l’ingénierie sur un plan interdisciplinaire, et nous montrons comment il est nécessaire de mettre à profit cette situation afin d’encourager l’avancement des connaissances transformatives. Nous posons que la mise sur pied intentionnelle de pratiques communes dans la recherche en didactique de l’ingénierie au sein de différentes institutions canadiennes est essentielle si on veut d’une part favoriser explicitement le développement de l’identité des étudiants diplômés en recherche sur l’enseignement de l’ingénierie, et d’autre part soutenir l’avancement de ce domaine interdisciplinaire émergent.
               
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