LAUSR

a couleur de la peau a longtemps été utilisée pour classer es humains dans une conception racialiste où ce marqueur tait fondamental. Depuis les premières observations de ernier (1684) [1] jusqu’à la théorisation de l’anthropologie la fin du XVIIIe siècle avec notamment les travaux de Bluenbach (1752—1840), on divisait l’humanité sur une base éographique où à chaque continent était associée une coueur de peau. Déjà à la fin du XVIIIe siècle, Buffon tempérait e critère : « L’homme, blanc en Europe, noir en Afrique, aune en Asie et rouge en Amérique n’est que le même omme teint de la couleur du climat ». Des études récentes ermettent de mieux cerner l’évolution de la pigmentation