Grossiere, mensongere, mais surtout violente, la langue du president americain est celle de la desunion : entre les gentils (lui et ses partisans) et les mechants (la presse, les Democrates… Click to show full abstract
Grossiere, mensongere, mais surtout violente, la langue du president americain est celle de la desunion : entre les gentils (lui et ses partisans) et les mechants (la presse, les Democrates et les immigres).
               
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