Serrant au plus pres l’ecriture du poete Paul Claudel, dans sa trilogie des Coufontaine, eclairee par l’enseignement qu’en extrait Lacan, dans son seminaire Le transfert, l’auteur propose dans cet article… Click to show full abstract
Serrant au plus pres l’ecriture du poete Paul Claudel, dans sa trilogie des Coufontaine, eclairee par l’enseignement qu’en extrait Lacan, dans son seminaire Le transfert, l’auteur propose dans cet article une lecture orientee par la lettre et la Versagung. La lettre du sinthome, griffe de ce ravinement du signifie dans le reel, est consubstantielle a la Versagung originelle, ce refus du sujet au signifiant de l’Autre. Le dire non que presentifie Sygne, l’heroine tragique moderne, s’affranchissant des limites de l’entre-deux-morts, serait-il la seule voie d’acces au desir ?
               
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